Street Art : une 2e édition du CAPS-Festival aux frontières du 17e
- Catherine DUMAS

- 2 juil. 2022
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Après une première édition couronnée de succès, l’association Co42, l’agence rentingART et la Ville de Clichy se sont à nouveau associées ces 2 et 3 juillet 2022 pour réitérer le Clichy Arty Playground Street Festival (CAPS Festival), festival de street art.
Une édition à laquelle la mairie du 17e est heureuse de s'associer puisque, cette année, ce sont les 9 piliers qui soutiennent le périphérique, Porte de Clichy, qui servaient de support au travail des artistes, placé sous le thème «autour de l’illusion, l’anamorphose et la technique du trompe-l’œil».

Aux côtés des élus de Clichy, nous avons pu, avec le maire du 17e, Geoffroy BOULARD et la première adjointe Alix BOUGERET, assister à la réalisation d'une fresque en direct.
L'ensemble de la performance artistique peut désormais être apprécié, Porte de Clichy, sous le périphérique, devenue le nouveau lieu "instagrammable" de Paris !
(*) "Instagrammable" est un néologisme ou anglicisme qui s'applique à un objet, un décor ou un lieu qui peut potentiellement très bien rendre dans le cadre d'une photo publiée sur la très populaire plateforme Instagram.



L'évolution du street art parisien révèle une richesse symbolique souvent méconnue du grand public. Au-delà des fresques spectaculaires du CAPS Festival, chaque œuvre urbaine porte une dimension spirituelle et culturelle profonde, notamment à travers l'utilisation de symboles universels comme la main de Fatma.
La symbolique de protection dans l'art urbain contemporain
Les artistes street art intègrent fréquemment des motifs ancestraux dans leurs créations murales. La khamsa, connue sous le nom de main de Fatma dans la tradition islamique ou main de Myriam dans la culture juive, apparaît régulièrement sur les murs des grandes métropoles. Ce symbole de protection ancienne transcende les frontières religieuses et culturelles pour devenir un langage artistique universel.